Joies de la peinture
Etre chez soi , c'est bien. Eh oui, la p'tite maison avec ses p'tits volets en bois...Justement, à les regarder de près, ils sont bien écaillés, ces volets. L'Homme saisit les deux plus écaillés (les plus lourds également, ceci expliquant peut-être cela). Les voilà déposés sur la terrasse. Pensant à tout, il met du journal dessous, et s'étant enquis de l'existence de vieux vêtements dédiés à la peinture (il n'y en a pas), attaque gaillardamment en slip. Je n'ai rien contre, personnellement, hé hé. Mais en ce qui me concerne, décidée à faire une minuscule retouche sur la ferrure, ça ne me paraît pas nécessaire. Je m'empare du pot de peinture métal noir, que j'avais refermé avec soin; il résiste un peu; il m'échappe et PAF, en une seconde,
-la moitié sur le carrelage
-l'autre répartie équitablement sur ma tunique préférée (d'un crème exquis à l'origine) et sur la plus confortable de mes jupes.
En rapport temps-nuisance, ce n'est pas mal!!!
C'étaient mes deux préférées! Mais peut-être pas les plus seyantes...Est-ce un signe du destin?